AU - Amireche, Djamel
AB - La déploration sur la baisse du niveau scolaire est sans doute aussi vielle que l’école elle- même. Le sentiment que les étudiants sont plus faibles que les générations qui les ont précédés est un préjugé solide, que l’on commence seulement à pouvoir combattre grâce aux évaluations, désormais systématiquement menées. Récente, la préoccupation d’évaluer les politiques publiques, et parmi elle l’éducation, rejoint le besoin pédagogique d’une meilleure information sur les compétences acquises par les étudiants afin d’ajuster au mieux enseignement- apprentissage. Quelle part active l’évaluation a-t-elle dans l’acquisition des connaissances et des compétences ? Les habitudes et les routines (on met des notes) empêchent de se poser la question. Les types d’évaluation utilisés sont devenus naturels, tant ils sont habituels. A l’origine, on a créé les examens pour évaluer les connaissances de façon plus objective que par des jugements basés sur l’opinion personnelle, ainsi que pour supprimer le favoritisme et le protectionnisme. Mais aujourd’hui l’on dit communément qu’ils remplissent d’autres fonctions (qui seront décrites plus tard). (Résumé publié) http://search.shamaa.org/abstract_fr.gif
OP - pp. 7-15
T1 - Pédagogie et culture de l’évaluation [Article]
UL - https://www.asjp.cerist.dz/en/downArticle/55/1/4/27740 Texte intégral (PDF) 1 http://search.shamaa.org/fulltext.gif