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Cette recherche a pour but d’identifier l’impact des réseaux sociaux (le cas de Facebook) sur la motivation des jeunes scolarisés. A cet effet, nous avons utilisé la méthode descriptive qui repose sur l’étude théorique de ce phénomène nouveau et récent et ce, à partir des points de vue quantitatif et qualitatif. Notre base de travail pour l’enquête de terrain devant expliquer le phénomène était l’éventualité d’un échantillon d’élèves comprenant 150 élèves des Classes de Terminales âgés entre 18 et 20 ans répartis comme suit : 60 garçons et 90 filles. Mais la situation de Corona-virus qui frappait toute la planète nous avait privés de cette opportunité de réaliser cette enquête de terrain et nous nous sommes rabattus sur des études entreprises dans divers pays arabes et occidentaux, lesquels travaux nous ont servis pour notre étude faute d’autre possibilité. Nous avions prévu de réaliser notre enquête au niveau du Lycée Fatma N Soumer d’Amizour dans le but de confronter nos acquisitions académiques et théoriques à la réalité du terrain avec un questionnaire bien ficelé comportant un canevas de 17 questions relatives à l’utilisation des réseaux sociaux de la part des jeunes élèves scolarisés et plus particulièrement Facebook. En utilisant les données recueillies dans les études de pays divers, il ressort deux choses importantes : 1) L’utilisation des réseaux sociaux est significative et positive pour les jeunes des pays arabes. 2) L’utilisation des réseaux sociaux est aussi significative mais négative en général pour les jeunes des pays occidentaux. Nous avons pu cerner toutes les raisons de cette situation assez singulière qui plonge ses racines dans les différences sociologiques et culturelles des deux groupes étudiés. En somme, nous sommes arrivés à la conclusion que l’impact des réseaux sociaux sur la motivation scolaire des jeunes scolarisés dépend en fait de facteurs endogènes à chaque pays. (Résumé de l’auteur)